Tout début à une fin...
Un peu comme la vie, quelque chose commence et puis un jour se termine.
Il y'a des fois des dossiers à boucler. Il en va de notre bien-être et le choix un jour est plus qu'obligatoire.
Certaines personnes, malgré elles, sont tels des aspirateurs d'énergie. Elles arrivent en quelques minutes à faire vriller ton émotion.
C'est un peu comme si tu étais révéillé en forme et que 5 minutes avec cette personne était égale à l'ascension d'une montagne sous la pluie.
Tu es comme essoufflé. Tu as presque escaladé toutes ses informations négatives et au bout il fait tellement mauvais que tu n'as pas cette jolie vue espérée. Rien. Juste le néant, de la brume... cela ne t'a rien apporté.
Il s'en est passé des années avant que je ne m'aperçoive que pendant ce temps je ressemblais presque à une cocotte sous pression. A la seule différence que tu sais le temps que ça prend que de faire cuire des pommes de terre. Or, dans cette relation, lorsque la pression est sortie sans prévenir, il a fallu d'un seul coup couper court. C'était comme si mon inconscient avait tant emmagasiné... et lancé presque violemment à ma conscience que le danger était immédiat.
C'est un peu le jeu de la survie. Mon mental m'envoyait de très claires informations de fatigue, d'incompréhension, de stress.
Cependant, par habitude, j'ai pris sur moi. J'ai, en fait, rassuré mon mental en lui donnant de fausses informations. "mais non"... "sois patient"... "elle va comprendre"...
Mais lorsque la conscience se réveille... c'est qu'il est temps de taper le point sur la table.
"Ça suffit !"
Des fois, il faut des discussions. Ça ne fait pas de mal de s'expliquer. Mais lorsque cela s'est déjà produit de nombreuses fois, tu sais qu'il n'y a plus rien à dire. Effectivement on entend
beaucoup, car c'est aussi à la mode, que nous sommes entouré par plus de "pervers narcissique" que nous le pensons. En tout cas, c'est la remarque que je me fais. Je ne les avais jamais vu avant et en fait ... ils sont bel et bien parmi nous.
Je ne suis pas psychologue et ces gens-là ne me donnent pas envie de les comprendre. Mais je pense qu'ils ont un peu tous leurs propres fonctionnements. Ils n'ont peut-être pas conscience de tout mais ils savent aussi que certaines manières de "dire", de "faire", n'est ni plus ni moins de la "manipulation". Attention danger !
La victime... en tout cas, le jouet, ne se rend pas compte. C'est un travail de longue haleine. C'est une destruction massive de l'autre...
Un jour, pour certains, tu entends comme un gros "clac". Je ne sais pas ou ? C'est assez étrange. Tu ressens comme un piège qui vient de se fermer sur toi. Pour moi, cela a été comme si je venais de tomber dans un toboggan sans fin... sans m'y attendre. J'ai eu une sensation de vertige. J'étais dans un bien drôle d'état au final. Comme ça, alors que je travaillais au bureau. Il y'a eu un déclenchement, il y'a eu une prise de conscience en 1 seconde. C'est un peu comme si tu avais des symptômes de plusieurs maladies, très symptomatique aussi de l'angoisse voire de la peur.
J'avais la nausée de me rendre compte que l'on me poussait vers le bas presque volontairement. J'avais mal à la tête de penser, réfléchir, de me renvoyer la balle "mais tu n'as rien vu ou quoi?".
La conscience m'a gentiment rappelée tout ce qu'il fallait... et je me rendais compte de toute cette manipulation dont j'avais été victime malgré moi, et aussi de cet amour malsain dont j'étais la proie.
Mais ou est passé mon caractère ? Pourquoi, face à elle, tout mon être se modifiait ? Elle impose une altération de ma capacité de penser.
Aujourd'hui, je me dis que si elle n'a pas réussi à me garder c'est que son jeu de victimisation avait une faille.
Cependant, je me demandais juste, comment peux t'on vraiment stopper une arme pointé sur toi, lorsque jour après jour, celle-ci est juste à côté de toi ?
Changer de travail...? A méditer.